Alors que des pays font machine arrière sur la transition de genre pour les mineurs, la Haute Autorité de santé française privilégie des mesures qui apparaissent aujourd’hui comme de graves erreurs.
Depuis quelques jours, on parle beaucoup d’un rapport préparé par la Haute Autorité de Santé (HAS) qui préconise des mesures en faveur des « personnes transgenres ». Sans le dire, ces mesures reflètent que se ressentir de l’autre sexe équivaudrait à être de l’autre sexe, thèse d’une erreur d’attribution corporelle par la Nature qui aurait mis « une âme de fille dans un corps de garçon » (ou l’inverse), erreur qu’il conviendrait de corriger comme il en va de toute anomalie corporelle. Mais cette explication par un « bug naturel » qui aurait placé dans le « mauvais corps » demeure une hypothèse, pour le moins hasardeuse